Le monde va peut-être mieux que vous ne le pensez...
Global Goodness est le premier média d’informations positives au Québec qui diffuse quotidiennement des nouvelles en provenance de partout dans le monde en français et en anglais! Ils rejoignent actuellement des personnes dans plus de 148 pays! Si vous ne les connaissez pas déjà, cet article est pour vous !
Pour suivre cette entreprise montréalaise :
Histoire de sa création
Laurent Imbault, comédien professionnel depuis 35 ans et détenteur d'une maîtrise en art ainsi qu’un DESS en gestion, a fondé avec sa compagne Katherine Adams, qui est une actrice et productrice québécoise reconnue, l’organisme à but non lucratif Goodness TV en 2008 qui est maintenant connu sous le nom de Global Goodness.
La mission de Global Goodness est de mettre en valeur les actions de tous ceux qui changent le monde! Cette plateforme interactive de diffusion et de production unique offre une vitrine mondiale consacrée au contenu positif et axé sur des solutions et sur l'engagement social de personnes, d'organisation et de sociétés œuvrant dans tous les domaines de l'activité humaine.
La vision de l’organisme est d'être un accélérateur de changement, un lieu de conversations et d'échanges visant principalement à susciter l'action. Pour eux, changer le narratif, c’est aussi changer le monde ! C’est d’ailleurs dans cet état d’esprit que Goodness TV est né :
"L’idée de faire un site de bonnes nouvelles est arrivée un peu par hasard dans ma vie. J’avais eu une discussion avec ma mère qui était alors en résidence et elle me disait « Écoutes, je ne vois plus l’espoir dans le monde » et ça m’avait beaucoup marqué à quel point une femme aussi intelligente que maman et aussi éveillée (elle n’était pas malade), mais qui disait « Il n’y a pas d’espoir dans le monde, je ne le vois pas ».
Je me suis rendu compte finalement que son seul contact avec la réalité du monde, et non pas celle de sa famille, mais à l’extérieur, c’était par le biais des médias, donc particulièrement la télé.
Je me suis rendu compte à ce moment-là que son rapport au monde était basé sur ce qu’elle voyait à la télé. Or, ce qu’elle voit à la télé, souvent c’est un petit peu hors norme, bon, y’a des choses intéressantes à la télé, mais au niveau de l’information, on est submergé d’informations qui nous arrivent d’un peu partout. Et il y a beaucoup beaucoup de violence, et il y a beaucoup de misère et, dans le fond, dans chaque conflit, à l’intérieur de chaque problématique, il y a toujours des gens qui sont là pour aider à résoudre ces problèmes-là et non pas les empirer. Et c’est un peu à partir de ça qu’on s’est dit, mais pourquoi qu’on ne crée pas un espace où on pourrait se ressourcer, connaître des initiatives et aussi faire connaître des initiatives porteuses d’espoir, parce qu’il y a beaucoup de gens qui travaillent pour le bien de l’humanité. Ce n’est pas tout le monde qui travaille pour mettre des bombes partout. La majorité des gens sont des gens qui travaillent, qui ont des vies correctes et qui veulent le meilleur sort pour leurs enfants, pour la planète, etc. Bien voilà, c’est pour ça qu’on a créé cet espace-là, qui est un espace aussi d’émotions, mais en même temps on peut retrouver toutes sortes d’initiatives qui viennent de partout. Chaque jour on en trouve. Ce qui se passe ailleurs aussi et qui nous permet de faire des liens entre différents projets. Ce matin on me montrait quelque chose dans l’Allemagne que je trouvais particulièrement intéressant, il y a des choses qui peuvent être reprises ailleurs, et ça crée une espèce de stimulation à faire le bien." Extrait de l'entrevue donné sur les ondes de Radio Canada : "Et si on parlait d'initiative porteuse d'espoir dans le monde ?"
Aujourd’hui, les nouvelles de Global Goodness rejoignent des personnes dans plus de 148 pays ! Et offre gratuitement une vitrine complète à des organismes en faisant un tracé des organismes et en compilant au même endroit leurs réseaux sociaux, leurs vidéos et en faisant des liens vers leur site, vers leur page de don en ligne, vers leur recrutement de bénévole et même des liens vers leurs différents projets en cours ! On peut donc aller voir un organisme et accéder rapidement à l’ensemble de ses réalisations à travers le monde. Il y a des centaines et des centaines d’organismes qui participent déjà et qui collaborent à la création de contenus et on en veut de plus en plus! Et les services de diffusion sont complètement gratuits pour l’organisation.
Ils ont aussi produit près de 150 épisodes de La Minute positive, qui consistent en un court reportage d’une minute sur un sujet positif, suivi de 2 actions qui vous sont proposées et que vous pouvez faire facilement (vous pouvez aussi imaginer votre propre action). L’idée était de partager la vidéo en laissant en commentaire l’action que vous aviez décidé de faire. Bien que la dernière Minute positive remonte à il y a 5 ans, vous pouvez encore consulter les anciennes vidéos et vous mettre en action! Pour les consulter, c’est ici : Minutes Positives - GlobalGoodness
Ou achetez directement sur la Boutique en ligne
Des exemples de bonnes nouvelles !
Un nouveau moteur de recherche pour trouver des vêtements éthiques sur internet !
Lien vers l'article : Comment acheter des vêtements éthiques sur internet ? - GlobalGoodness
Extraits de l’article :
"Trouver des vêtements éco-responsables et éthiques c’est désormais possible avec le moteur de recherche Ethical Clothing. Lancé en 2019, il devient le premier moteur de recherche de vêtements éthiques en Amérique du Nord! Il propose les produits d’une centaine de marques durables et écoresponsables, ce qui rend désormais facilement accessible au consommateur des marques éthiques et abordables !"
"Depuis quelques années, une demande importante pour des vêtements éco-responsables a vu le jour, preuve de l’intérêt porté à la lutte contre le changement climatique et les inégalités socio-économiques. Cette demande de vêtements éthiques se traduit également par une augmentation de l’offre et la multiplication des nouvelles petites marques durables."
Faire affaire avec une banque verte pour réduire son empreinte carbone !
Lien vers l'article : 8 façons simples de réduire son empreinte carbone - GlobalGoodness
Cet article vous partage 8 façons pour réduire votre empreinte de carbone tel que de cultiver son propre jardin, de choisir le vélo comme moyen de transport et d’acheter local, de saison et bio!
Mon truc préféré, vous l’aurez deviné : Faire affaire avec une banque verte ou écologique ! Ce qui permet de financer des projets écologiques et choisir ce type de banque permet d’encourager les initiatives qu’elles financent.
Je vous ai aussi trouvé cet article : Qu’est-ce qu’une banque verte ou écologique ? Dans lequel on prend le temps de donner une définition plus poussée, en voici un extrait : "L’argent peut rendre le monde meilleur. La façon dont notre argent est investi relève principalement de la responsabilité des banques. Souvent, les banques investissent des sommes colossales dans des activités ayant un impact néfaste sur l’humanité et l’environnement. Toutefois, certaines banques, conscientes des menaces qui pèsent sur notre environnement, ont décidé d’orienter leurs investissements vers une économie durable et écologique. On les appelle « banques vertes ». [...] Chaque investissement doit avoir un impact significatif sur l’environnement et la société. Les banques éthiques sont évaluées à travers leurs politiques sur le climat, les droits de l’homme, les droits du travail et leur transparence."
14 projets d’économie circulaire au Québec !
Lien vers l'article : 14 projets d’économie circulaires financés au Québec - GlobalGoodness
Mais d’abord, l’économie circulaire c’est quoi ? L’économie circulaire est une économie en boucle dans laquelle rien ne se perd, c’est-à-dire que les déchets d’une entreprise ou d’une activité servent de matière première a une autre, idéalement au sein d’un même parc industriel. Il n’y a ainsi aucun déchet à proprement parler puisque rien n’est jeté, mais plutôt réutiliser ailleurs !
Pour voir les 14 projets de la 2e édition pour la transition vers l’économie circulaire organisé par RECYC-QUÉBEC : Appel de propositions pour la transition vers l’économie circulaire (gouv.qc.ca)
Une carte interactive pour recenser les acteurs de l’économie circulaire !
Lien vers l'article : Une carte interactive pour recenser les acteurs de l’économie circulaire - GlobalGoodness
Extrait de l’article :
"Une carte interactive des initiatives de la transition écologique et solidaire, créée par l’ESS (Économie Sociale et Solidaire), recense les acteurs de l’économie circulaire disponibles dans plusieurs régions en France. Elle a pour but de faciliter les pratiques en faveur de la transition écologique."
Lancée en 2021, c’est la toute première plateforme des acteurs de l’économie circulaire en France. Elle recense aujourd’hui plus de 3000 acteurs en France, mais aussi en Amérique latine et en Afrique, et il est maintenant possible d’y proposer des nouveaux acteurs !
Pour consulter la carte : Carteco - Carte des structures de l'ESS (carteco-ess.org)
L’essor des monnaies locales !
Lien vers l'article : L'essor des monnaies locales - GlobalGoodness
Extrait de l’article :
"Comment ça marche ? Depuis 40 ans, les monnaies locales sont en plein boom. Pourtant, seule la France leur reconnaît et leur offre un cadre légal. Ailleurs, elles se multiplient en profitant d’un flou juridique. Néanmoins, les milliers de MLC [Monnaies Locales Complémentaires] partagent de nombreux points communs. Elles apparaissent généralement à l’initiative de groupes associatifs et peuvent s’échanger sur un territoire restreint : quelques communes, voire une ville. La Normandie est la seule région au monde à avoir créé sa propre monnaie et à permettre son utilisation dans tout le territoire. En plus d’être limitées géographiquement, les monnaies locales ne peuvent être utilisées que dans certains commerces. Ces derniers doivent répondre aux critères des associations : écologique, social, local ou équitable. Ainsi, les grandes enseignes en sont exclues."
"Si les monnaies locales incitent à la consommation, elles favorisent surtout les dépenses responsables. Les devises locales mettent en valeur les produits du terroir et les artisans locaux et permettent d’économiser la pollution liée au transport. De plus, les producteurs sélectionnés répondent à des préoccupations environnementales et éthiques. Grâce à l’injection de ces devises, les commerces concernés profitent d’une hausse de la demande pour leurs productions."